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Chère Québécoise, cher Québécois !

Où que Vous soyez, dans les parages ou en voyage, au Canada ou ailleurs, Bonne Fête nationale !

L’image en majeur fut prise chez mes grands amis de l’avenue Royale, à Beauport.

L’image en mineur est celle de Baie-Saint-Paul, dans la région de Charlevoix. On arrive à lire en partie l’empreinte du grand impact météoritique d’un diamètre de 54 km, bien grand choc s’il en fût vers 400 millions d’années.

On parle aujourd’hui de l’Astroblème de Charlevoix, le onzième plus grand site d’impact identifié sur Terre et le troisième plus grand au Canada après ceux de Sudbury, en Ontario, et de Manicouagan, au Québec.

Voilà un lieu captivant où culmine le pointement central, le Mont des Éboulements. L’Isle-aux-Coudres, elle, errante, provenant de la formation géologique des Appalaches, plus au sud, s’est graduellement avancée vers cet endroit durant la dizaine de millions d’années qui suivirent pour occuper une partie de l’impact. La limite entre les Appalaches, constantes résistantes à la dérive des continents, et le Bouclier canadien, imbronchable depuis toujours, sorte de très vieille terre du début des temps, s’appelle la faille de Logan.

Et ce lieu tremble régulièrement depuis ce temps.

Il est coutume de répéter que les Charlevoisiens, habitués aux fréquents tremblements de terre, placent toujours leur horloge sur une tablette disposée de telle manière que l’appareil s’incline vers l’arrière, histoire bien sûr de le sauver d’un malheur si branlement était.

Pour détricoter tout cela, consultez la page Wikipédia sur l’Astroblème de Charlevoix.

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