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Archive pour

Du quotidien « Le Canada » (Montréal), 30 mars 1905

J’aime le bourdon

Depuis longtemps, il est pour moi un camarade. Quelque chose dans nos vies est semblable. Et je prends toujours plaisir à en savoir davantage à son sujet. Lire la suite

Arrêt sur Louyse de Bienville

Il est bien vrai que, de toutes les écrivaines québécoises du premier quart du 20e siècle, Louyse de Bienville (1870-1928), Madame Donat Brodeur, petit-fille de l’historien François-Xavier Garneau, est la moins connue de toutes.

Dans Le Dictionnaire biographique du Canada, Line Gosselin nous dit que « la dispersion de ses écrits dans différents périodiques a sans doute contribué à son effacement ».

Cette mère de huit enfants écrivait fort bien, on ne peut en douter. Lire la suite

Une eau sous terre vieille de deux milliards d’années

En décembre dernier, installés dans une mine près de Timmins, une ville du Nord-Est de l’Ontario, des chercheurs de l’Université de Toronto ont trouvé à trois kilomètres de profondeur de l’eau remontant à deux milliards d’années. Lire la suite

De Hogan Reikan (1779-1860)

À quoi rêvent-ils dans les fleurs

Les papillons

Muets Lire la suite

Et voilà qu’il tombe à nouveau des peaux de lièvre dans mon pays

Cette neige à gros flocons, blancs, s’apparentant au blanc de la peau du lièvre en hiver, tombant calmement, humide comme tout, belle à voir.

Une sorte de bonheur dans les variétés de neige que nous avons. Lire la suite

Un livre véritable outil pour le développement mental de l’enfant

Au printemps 1970, j’ai acheté en même temps deux albums à la petite librairie d’Antony, au sud de Paris, celui-ci de Carelman, Catalogue d’objets introuvables, et l’autre du dessinateur humoriste Chaval, L’Homme.

Mon fils était à quelques mois d’avoir deux ans. Sauf de tout petits ouvrages de quelques pages en tissu ou en carton fort, ce sont probablement les deux premiers livres apparus dans sa vie. Lire la suite

Le médecin chirurgien et neurobiologiste Henri Laborit sur le créateur

La motivation du créateur ne peut être alimentée que par l’angoisse existentielle, celle que les sociétés hiérarchiques et paternalisantes s’efforcent d’obscurcir, à condition qu’elle débouche sur une structure suffisamment générale pour espérer répondre à cette angoisse.

Si il se laisse dévier, ne serait-ce que quelques moments, vers la compétition hiérarchique, la lutte pour la dominance, le créateur risque d’être définitivement perdu pour la création. Lire la suite

Ah, quelle vie à la fin !

Le temps qu’il fait depuis près d’une semaine n’est guère encourageant. Lire la suite

Mon fils m’écrit : « Oiseau de la Barbade sur notre balcon »

Dieu qu’elle s’apparente à notre Tourterelle triste ! Si ce n’est elle, c’est sa cousine germaine assurément. Lire la suite