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Et ne vous empressez surtout pas de vendre votre âme au diable !

Samedi-dimanche, les 18 et 19 février, il y a tout un dossier sur les algorithmes dans le quotidien Le Devoir, Le Pouvoir du code.

Je savais qu’il fallait se méfier dès le départ de ces cartes de fidélité qu’on nous offre depuis quelque temps dans les commerces, que c’est le diable qui entre par le soupirail de la maison ou la fenêtre de la cuisine. J’ai toujours refusé. D’ailleurs depuis un mois, trois caissières dans trois différents commerces m’ont dit : Nous n’avons pas le choix de vous l’offrir, mais je vous comprends parfaitement, moi-même je les refuse systématiquement.

À la vérité, j’ai succombé béatement, à deux ou trois reprises, à la demande de mon code postal attaché à mon adresse, ne sachant absolument pas à quoi cela servait et on ne nous l’expliquait pas.

Dans ce dossier du Devoir, un encadré signé Isabelle Paré nous éclaire sous le titre Algorithmes de prix. On y lit :

Selon le site de l’organisme ProPublica, plusieurs grandes compagnies, dont Amazon, utilisent des algorithmes masquant le prix réel de leurs articles afin d’avantager leurs propres produits lors de recherches faites en ligne par les consommateurs.

De grandes chaînes disposent aussi d’algorithmes pour moduler leurs prix en fonction du code postal des consommateurs. Cela permet d’augmenter le prix dans les secteurs dépourvus de commerces similaires et de le réduire là où les consommateurs pourraient être tentés de se tourner vers la concurrence.

 

L’image ci-haut ? Lors de son passage, le diable a perdu un de ses gants.

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