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Je n’y suis jamais entré

Mais sans doute que les ânes, dans leur cabane, mangent et dorment dans le foin séché. Parfois, ils s‘approchent et je reconnais dans leur toison longue de l’hiver, sur leur large front en particulier, ces petites fleurs séchées.

Chers ânes.

On les dirait discrètement décorés.

2 commentaires Publier un commentaire
  1. Andrée Gendreau #

    Nous avons oublié les ânes, remplacés par les chevaux qui, eux-même, ont cede la place aux moteurs…peux-t-on appeler cela une amelioration? En tout cas, certes pas du point de vue affectif!

    11 février 2017
  2. Jean Provencher #

    C’est certain, chère Andrée, que l’affection en a perdu un coup. André Auclair, ami et grand spécialiste et éleveur de vaches et de chevaux canadiens, continue d’aller dans le bois faire son travail de forestier avec un ou deux chevaux canadiens. Et il me racontait le plaisir de prendre son dîner avec eux. Et il ajoutait : «Je vais te dire, un tracteur, ça n’a pas de discours, ça ne parle pas. C’est l’ennui, dîner avec un tracteur.»

    11 février 2017

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