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La ville de Trois-Rivières s’urbanise, alors qu’à Saint-Hyacinthe, ça ne va pas de soi

plaques de rueEt nécessité oblige.

On est à poser au coin des rues de petites planchettes avec le nom des rues.

C’est bien, mais pourquoi ne pas écrire français et ne pas marquer Ste Anne au lieu de St Anne ?

À quand les numéros sur les maisons ?

 Le Trifluvien (Trois-Rivières), 29 mai 1889.

* * *

Deux ans plus tard, à Saint-Hyacinthe, on n’est pas convaincu d’une pareille obligation. La Tribune, le journal de l’endroit, écrit le 29 mai 1891 :

Si le conseil [de ville] est décidé de ne pas faire poser de numéros aux maisons cette année, il devrait au moins faire poser le nom des rues à chaque coin.

L’étranger qui vient à Saint-Hyacinthe et qui voudrait se guider sur le nom des rues rencontrerait beaucoup de difficultés aujourd’hui.

 

La photographie provient du site de la Société Radio-Canada.

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