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Salut à toi, cher Bernard

Bernard WhiteVoilà mon copain Bernard White envolé. Dans la jeune quarantaine, dit-on. Scénographe, grand créateur, réfléchi, plein d’humour. Il habitait le quartier. Se croisant, nous échangions sur les couleurs diverses de la vie. Toutes mes sympathies à Nancy, son amour.

La vie peut aussi être vraiment cruelle.

La photographie de Bernard provient de cet article de Josiane Ouellet dans le Voir Québec du 26 janvier 2006.

4 commentaires Publier un commentaire
  1. Esther #

    Il était votre copain… Je vous offre donc mes sincères condoléances pour ce deuil d’amitié… Quelle injustice de partir si jeune !

    27 mai 2015
  2. Jean Provencher #

    Merci beaucoup.

    28 mai 2015
  3. silvana #

    Toutes mes condoléances Jean pour la perte de votre si jeune ami. C’est difficile à comprendre la vie parfois.

    Reste les beaux souvenirs de l’amitié.

    28 mai 2015
  4. Jean Provencher #

    Merci, merci beaucoup. En vieillissant, on voit tomber du monde en chemin. Des êtres attachants. Enfant, nous ne le savions pas.

    28 mai 2015

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