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La descente du bois à Québec

Des cageux sur la rivière des Outaouais

En 1889, le commerce du bois pour l’étranger passe toujours par Québec. On continue d’abattre les grands pins blancs de la région de l’Outaouais pour les mener à Québec réunis en «cages».

Le correspondant de La Tribune à Québec dit, le 9 août 1889, que la capitale vit une grosse année.

Le commerce du bois est particulièrement satisfaisant cette année.

Presque tout le bois qui doit arriver ici a été vendu d’avance. On estime que la quantité totale de pin blanc venu sur le marché de Québec cette année atteindra le chiffre de 10 millions de pieds cubes, ce qui surpasse de beaucoup ce qu’on a vu pendant les quatre dernières années.

Mais cette époque tire à sa fin. Le 6 juillet 1908, Le Soleil, un quotidien de Québec, annonce l’arrivée prochaine de la dernière cage.

 

Source de l’illustration : Inventaire des biens culturels du Québec, Scènes, 19022 Y-10.

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