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Les Tamias rayés sortent de leur hibernation

J’ai deux tamias. Celui-ci sur ces trois images vit près de la galerie arrière, près de la marche sur laquelle il est posé en ce moment. Comme il me voit très fréquemment aller et venir tout près de lui, il ne fait plus de cas de ma présence, sait qu’il n’a pas à fuir à mon passage. Il en manquerait bien peu pour que, lui offrant de la nourriture dans ma main, il s’approche manger.

L’autre, qui a son terrier près du grand pommier, à proximité du poste d’alimentation de chardon à l’avant, est franchement plus méfiant. J’arrive bien mal à le rassurer.

Les deux m’apparaissent aujourd’hui même, 19 avril, pour la première fois cette année. C’est tard. Je n’ai jamais aperçu le tamia plus tôt que le 28 février. Et, habituellement, il est là entre le 7 et le 24 mars.

Mais, aujourd’hui, mes tamias tellement reposés sont bien enjoués. Celui-ci, confiant, va et vient, tout près, comme pour me témoigner sa joie, dirait-on. C’est une bonne bête.

Sur le tamia, voir aussi cet article.

Par ailleurs, un ami me disait hier qu’il nourrit un tamia à son chalet de Saint-Damase depuis quelques années et, au moment où la bête mange dans sa main, il peut la flatter sur le dos. Vous pouvez aussi prendre connaissance de ces deux beaux enfants qui, en des temps d’autrefois, nourrissaient leur tamia.

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