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Archive pour

Étonnement soudain après l’hiver

Aujourd’hui, j’ai marché mon grand terrain, revenu de son hiver. Je le connais tellement maintenant, je sais que c’est le meilleur temps pour le parcourir. Lire la suite

Cela vous est-il déjà arrivé ?

Avez-vous déjà parlé à un lilas ? Il n’est pas trop tard. Les lilas aiment qu’on leur parle. À ce temps-ci en particulier. Lire la suite

Les orgues de barbarie

Extrait de La Tribune, un hebdomadaire de Saint-Hyacinthe, du 22 avril 1892. Lire la suite

Une grande nécropole découverte en Égypte

Dans la Vallée des Rois, on vient de découvrir quelque 50 momies ou restes de momies remontant à la période 1550-1292 av. J.-C. Lire la suite

Pour celles et ceux qui s’intéressent à l’histoire du vin

Voici, pour une des rares fois, un article sur la viticulture au Québec. Le quotidien montréalais La Patrie du 9 mai 1881 nous l’offre. Lire la suite

La vie d’homme des champs

Voici un texte dithyrambique sur la vie de l’ouvrier des champs. À la fin du 19e siècle, devant l’urbanisation galopante, on perçoit une résistance, l’espoir d’un mouvement contraire. Lire la suite

Un fantôme à Stadacona

Voilà plus de 100 ans, à Québec, Stadacona était un petit bourg rattaché à Limoilou. Le 14 avril 1881, le journal montréalais La Patrie affirme qu’un fantôme se manifeste dans les rues de ce «village». Lire la suite

Nos grands-mères coquines des années 1930

Quand je fais de la route, j’attrape avant de partir de la maison, sans trop jamais les choisir, une poignée de disques à écouter chemin faisant. Dans la nuit de vendredi, revenant de Trois-Rivières, tourne dans le lecteur «Les plus belles chansons de Paul Delmet». Ce Delmet (1862-1904) fut un as des romances à succès. Lire la suite

À Québec, les «Bassevillains» dans l’eau

Décidément, il faut se faire à l’idée, certains printemps québécois sont des printemps d’inondations. En voici un, à Québec cette fois-ci. La Patrie du 30 avril 1880 en fait sa une. Lire la suite

Allez, modification d’un équilibre

jIl faut parfois admettre d’être déstabilisé, les livres de sagesse le disent. Les ornières sont habitude et vient un moment où plus rien ne prend place, sinon le ronron qui enferme, finit par asphyxier, tuer.

Vous connaissez Gaston Bachelard (1884-1962) ? Avec respect, courez-y pour votre santé. J’extrais des passages du livre de Jean-Claude Margolin, Bachelard, au Seuil, collection Écrivains de toujours, 1974. Lire la suite