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Résultats de recherche pour 'Lozeau'

Sur la piste à nouveau de ce cher Albert Lozeau

Une visiteure du site m’a remis sur la piste, hier, de ce magnifique poète québécois. Il a si bien chanté les saisons et le temps qui passe.

Voici Septembre. Lire la suite

Du poète Albert Lozeau

L’étoile Lire la suite

Voilà ce cher Albert Lozeau (1878-1924) à nouveau dans le journal

Albert Lozeau, le 29 juillet 1905

 

Je le répète, je l’aime beaucoup. Il n’y a bien une vingtaine de billets sur ce site où apparaît un de ses textes ou il est mentionné. C’est lui qui a imaginé cette belle formule : Le calme d’une ville est fait de bruit calmé.

Le voici ici sur le thème de l’attente. Lire la suite

De nouveau, retour à Albert Lozeau

Ce poète québécois est présent sur ce site depuis le début. Il décède bien jeune, en 1924, à 46 ans. Je possède plusieurs livres de cet auteur. Et, étonnamment, dans celui-ci, publié une année après son décès, aucun nom d’éditeur n’apparaît. Déjà paru en 1912, peut-être était-il épuisé en 1925 et on s’est empressé de le rééditer ?

Le poète avait dédié ce livre ainsi à Louis Fréchette, alors décédé. Et voici le prologue qu’il proposait : Lire la suite

Des journaux du Québec, par bonheur, ont fait place au poète Albert Lozeau (1878-1924) de son vivant

il-neige

Tournant les pages, je m’en réjouis, moi qui l’aime beaucoup.

Voici, échappé dans La Patrie du 28 novembre 1903, ce petit poème de ce cher Albert.

Le poète Albert Lozeau s’en prend à Paul Verlaine

Albert Lozeau en 1909

Albert Lozeau en 1909

J’aime beaucoup les poètes Albert Lozeau et Paul Verlaine. J’ignorais tout à fait cependant que le jeune Albert n’aimait pas, mais vraiment pas du tout, Verlaine.

Jules-Paul Tardivel, le journaliste vite sur la gâchette, celui qu’en son temps certains surnommaient Pistolet, a échappé quelque part son admiration pour Verlaine, ce qui a choqué Lozeau. Le 2 mai 1902, ce dernier écrit au quotidien La Patrie. Lire la suite

Extraits du premier recueil de poésie d’Albert Lozeau

albert lozeau

En 1907, grâce à l’entremise du critique français Charles ab der Halden, le poète Albert Lozeau, âgé de 29 ans, publie à Paris et à Montréal son premier ouvrage de poésie, L’Âme solitaire. Le livre est fort bien reçu, au point où il connaît un nouveau tirage l’année suivante. Lire la suite

Albert Lozeau (1878-1924)

Dites, vous connaissez ce poète québécois du premier quart du 20e siècle, contemporain d’Émile Nelligan, ami de Charles Gill et de Louis-Joseph Doucet ? Je l’ai découvert, un jour, dans son deuxième recueil de poèmes, Le Miroir des jours, paru à Montréal en 1912. Michel Lemaire, professeur à l’Université d’Ottawa, spécialiste de Lozeau, écrit qu’il s’agit ici de son ouvrage le plus achevé, une poésie à la fois simple et touchante, savante et raffinée. Lire la suite

Pour parer à mon absence à la campagne hier, je plonge dans mes archives photographiques (5/6)

Albert Lozeau

 

 

 

 

 

 

 

 

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À quand une anthologie des meilleurs textes du conteur et poète Louis-Joseph Doucet (1874-1959) ?

Né à Lanoraie, entre Lavaltrie et Berthier, sur la rive nord du Saint-Laurent, membre de l’École littéraire de Montréal, contemporain de Lozeau, Nelligan, Gill et d’autres, qui donc s’arrête aujourd’hui à cet écrivain ? Lire la suite